On peut facilement se sentir déstabilisé par cette œuvre. Si, à première vue, elle nous semble réaliste, le titre dément cette hypothèse. Nous allons donc tenter de comprendre le sens de ce tableau. Caspar David Friedrich Caspar David Friedrich est un peintre allemand né en 1774 à Greifswald et mort en 1840. Il est, aujourd’hui, considéré comme l’un des piliers du romantisme. Ses œuvres les plus célèbres sont Le voyageur contemplant une mer de nuages, que nous allons vous présenter, et L’Abbaye dans une forêt de chênes, peinte en 1810. Le contexte artistique Le voyageur contemplant une mer de nuages a été peint par Caspar David Friedrich en 1818. Elle fait alors partie du romantisme, un courant artistique apparu vers la fin du XVIIIe siècle. Ce courant, opposé au réalisme, décide de représenter le sentiment plutôt que la raison. Les tableaux appartenant au romantisme ne font donc pas appel à votre esprit d’analyse et ne cherchent pas à vous expliquer des faits. Le but est de provoquer votre imagination et vos émotions. Le voyageur contemplant une mer de nuages Le fait que nous nous trouvons derrière cet homme, et que nous ne pouvons pas voir son visage, nous force à nous concentrer sur la nature, au second plan. Nous avons également la sensation de voir à travers ses yeux. Le contraste entre le premier plan et le dernier, bien plus sombre, donne une impression de flou. Le peintre nous inviterait-il à admirer cette nature irréelle et même, à imaginer ce qu’il pourrait s’y trouver ?
Qui est Jean-Paul Sartre ? Sartre est un philosophe et écrivain français né en 1905 à Paris. Sa compagne était Simone de Beauvoir. Il a écrit des pièces de théâtre et des romans comme La Nausée mais il est surtout connu pour son autobiographie Les Mots. Autobiographie pour laquelle il reçut le Prix Nobel de la Littérature qu’il refusa. Il dit à ce sujet : “J’ai refusé le prix Nobel parce que je refusais que l’on consacre Sartre avant sa mort”. Les mots Il divise son autobiographie en deux parties. La première s’appelle Lire et se consacre à sa découverte de la lecture. Son grand-père avait une immense bibliothèque, il a donc appris à lire tout seul en déchiffrant les livres qui s’y trouvaient. Sa famille était fière de le voir lire beaucoup de classiques littéraires mais en cachette, il lisait aussi des romans d’aventure comme Michel Strogoff. La deuxième partie, Écrire, raconte comment il s’est mis à écrire. Mais pour savoir la suite, il faut lire le livre ! Pourquoi le lire ? Sartre parle de sa passion pour la lecture et l’écriture dans ce livre avec énormément de talent. On peut lui reconnaître une certaine prétention mais Les Mots reste infiniment intéressant pour comprendre et voir comment un écrivain a commencé à aimer lire et, par la suite, appris à écrire.
Jeudi 01 septembre : accueil des classes – 6ème : accueil des classes de 8h30 à 12h. – 5ème : accueil des classes de 14h30 à 16h30. – 4ème : accueil des classes de 14h00 à 16h00. – 3ème : accueil des classes de 13h30 à 15h30. Remise des manuels scolaires pour les classes de 6ème, 4ème : prévoir un sac. Vendredi 02 septembre : début des cours selon l’emploi du temps. Remise des manuels scolaires pour les classes de 5ème et 3ème Le service de restauration débute le vendredi 02 septembre. Réunion d’information pour les parents de 6ème / 5ème : LUNDI 12 SEPTEMBRE à 18h Réunion d’information pour les parents de 4ème / 3ème : JEUDI 15 SEPTEMBRE à 18h
Ci-joint le fichier.pdf concernant les fournitures de la 6ème à la 3ème
C’est en bus que la classe de 5eme C se rendit dans le parc du Château. Le département avait organisé l’opération 5 000 collégiens à Versailles et la journée s’annonçait belle autour du bassin d’Apollon dont les chevaux émergeaient dans la fraicheur matinale. Les élèves enchaînèrent trois activités. Les deux premières, aux bosquets de la colonnade puis de la girandole, consistaient à concevoir un bosquet, en miniature puis, avec une tablette numérique, un programme musical. « Vous allez être un peu comme les D.J de Louis XIV ! », leur dit l’animatrice. Une autre, devant la fontaine de Latone, proposa la troisième occupation : la rédaction d’un acrostiche. A 11h30, on patienta au pied de l’escalier qui mène à l’Orangerie d’où un élève fit remarquer que les broderies de la pelouse à la française étaient aussi bien tondues qu’une coupe de cheveux de Paul Pogba à la Juventus. Puis le déjeuner eut lieu sous les fraiches voutes de l’entrepôt royal : sandwich, chips et cookie sans oublier le petit pot de glace. Après ce repas, direction, l’entrée du château où il fallut patienter. Un gardien nous apprit que certains visiteurs indélicats n’hésitaient pas à voler des poignées de porte ! Un animateur commença par jouer de la flûte et fit part de son hésitation entre deux thèmes de comédies : l’argent ou l’amour. Les élèves choisirent le premier. Salle des hoquetons, un couple, entre deux paons en plomb, leur apprit à faire une chorégraphie sur le thème pécuniaire : Il fallait d’abord compter une liasse de billets imaginaires, puis les palper du bout des doigts et enfin les envoyer en l’air comme dans une girandole. Surtout ne pas oublier la révérence… La visite du château se poursuivit : salon de Diane, appartements des filles – Victoire et Adélaïde – de Louis XV, de Marie-Antoinette, salon de la guerre, galerie des glaces où le roi ne règne que par lui-même. Vers 16 h, le chauffeur de bus nous dépose devant la square Jarousse. M. Kempf