• C’est à une flânerie en chansons dans les rues de Paris que nous a conviés la chorale du Collège Saint-Exupéry ce mardi 20 juin. Nous avons suivi la Seine, remonté les Champs-Elysées bien sûr, et rencontré Le Poinçonneur des Lilas, qui fait toujours ses p’tits trous de seconde ou de première classe. C’est à 5 heures que Paris s’éveille, mais peu importe : nous aimons cette vie de Bohème. Même si parfois, il est vrai, Vesoul ou Paname nous tenteraient bien… Mais c’est à Paris qu’on voit La Vie en rose ! Une Dernière Danse, des applaudissements bien mérités pour des élèves qui n’ont pas peur de chanter seul, à deux, ou tous ensemble, et un petit pot pour fêter ça. Bravo la chorale, et à l’année prochaine !) ED

  • Cette année 2022-2023, en technologie, la classe de 5 A a travaillé sur la conception 3D d’un module de glisse de skatepark. La réalisation de la maquette à l’échelle 1/50e est fidèle au plan dessiné. Ce travail de groupe a mobilisé les compétences suivantes : Imaginer des solutions techniques qui répondent au besoin Dessiner en 3D à l’aide d’un logiciel de C.A.O. Sketchup Choisir des dimensions Mettre à l’échelle à l’aide du logiciel tableur/grapheur Excel Choisir des matériaux adaptés à la réalisation de la maquette

  • C’est en bus que la classe de 5eme C se rendit dans le parc du Château. Le département avait organisé l’opération 5 000 collégiens à Versailles et la journée s’annonçait belle autour du bassin d’Apollon dont les chevaux émergeaient dans la fraicheur matinale. Les élèves enchaînèrent trois activités. Les deux premières, aux bosquets de la colonnade puis de la girandole, consistaient à concevoir un bosquet, en miniature puis, avec une tablette numérique, un programme musical. « Vous allez être un peu comme les D.J de Louis XIV ! », leur dit l’animatrice. Une autre, devant la fontaine de Latone, proposa la troisième occupation : la rédaction d’un acrostiche. A 11h30, on patienta au pied de l’escalier qui mène à l’Orangerie d’où un élève fit remarquer que les broderies de la pelouse à la française étaient aussi bien tondues qu’une coupe de cheveux de Paul Pogba à la Juventus. Puis le déjeuner eut lieu sous les fraiches voutes de l’entrepôt royal : sandwich, chips et cookie sans oublier le petit pot de glace. Après ce repas, direction, l’entrée du château où il fallut patienter. Un gardien nous apprit que certains visiteurs indélicats n’hésitaient pas à voler des poignées de porte ! Un animateur commença par jouer de la flûte et fit part de son hésitation entre deux thèmes de comédies : l’argent ou l’amour. Les élèves choisirent le premier. Salle des hoquetons, un couple, entre deux paons en plomb, leur apprit à faire une chorégraphie sur le thème pécuniaire : Il fallait d’abord compter une liasse de billets imaginaires, puis les palper du bout des doigts et enfin les envoyer en l’air comme dans une girandole. Surtout ne pas oublier la révérence… La visite du château se poursuivit : salon de Diane, appartements des filles – Victoire et Adélaïde – de Louis XV, de Marie-Antoinette, salon de la guerre, galerie des glaces où le roi ne règne que par lui-même. Vers 16 h, le chauffeur de bus nous dépose devant la square Jarousse. M. Kempf

  • Les élèves référents de la lutte contre le harcèlement scolaire du collège Saint Exupéry  ont été invités au sénat pour participer à un débat contre le harcèlement et sensibiliser les sénateurs aux difficultés rencontrées. L’association  « Marion la main tendue »  représentée par Nora Tirane Fraisse ainsi que Armanda Bourneuf étaient présentes pour échanger avec les élèves. Ils ont pu ensuite avoir une visite guidée des lieux.

  • Vendredi 8 avril, trente élèves provenant de trois classes de troisièmes se sont rendus au Théâtre Rive Gauche en soirée pour voir « Adieu Monsieur Haffmann », pièce de théâtre écrite et mise en scène par Jean-Philippe Daguerre. Cette pièce se déroule pendant la seconde guerre mondiale et raconte l’histoire de M. Haffmann, juif, pendant cette période. Joseph Haffmann est joaillier et possède sa bijouterie. Dès le début de la guerre il lui devient impossible d’exercer son métier, sous peine d’être découvert par les nazis. Il décide donc de confier sa boutique à son employé, Pierre Vigneau, et lui demande en échange de le cacher des nazis. Ce dernier accepte, mais pose une condition : M. Haffmann doit avoir des relations sexuelles avec Isabelle, sa femme, jusqu’à ce qu’elle soit enceinte, car Pierre est stérile. Joseph accepte et commence à vivre à la cave. Il y reste plusieurs mois sans pouvoir sortir et pendant ce temps il se rapproche d’Isabelle, tandis que Pierre se rapproche d’Oho, un nazi. Lorsque Joseph apprend que le nazi et sa femme viennent dîner chez les Vigneau, juste au-dessus de la cave où il vit, il décide de s’inviter au dîner. Une énorme supercherie commence alors, pour que le nazi ne découvre pas que M. Haffmann est juif… Cela va-t-il fonctionner ? Cette pièce est vraiment intéressante, le public a été captivé par la pièce tout du long. L’histoire était touchante et comique en même temps, ce qui était très agréable. Elle personnifiait les horreurs du passé sous les traits de M. Haffmann et des autres personnages. Je pense que c’est une pièce qu’il faut voir une fois.   Candice LBJ (3B)

  •   Article sur la sortie du 14 mars   Lundi 14 mars, dans la matinée, les 4è des classes B, C, D, E sont partis avec quelques professeurs voir la pièce de théâtre Cyrano de Bergerac à la Comédie Française, pièce mise en scène par Denis Podalydès  en 2017 et projetée au cinéma de l’Aquaboulevard. Après avoir attendu tout le monde, nous sommes partis aux alentours de 8h30. Après quelques minutes de marche, nous sommes arrivés au cinéma. Nous nous sommes installés.  Avant que cela ne débute vraiment, le comédien jouant Cyrano, Michel Vuillermoz, a accordé une interview à un journaliste. Puis la pièce a démarré.   La pièce de théâtre, écrite en 1897 par Edmond Rostand, raconte l’histoire d’un homme nommé Cyrano, amoureux de sa cousine Roxane. Complexé par son nez, Cyrano n’ose pas avouer ses sentiments à Roxane. Celle-ci lui avoue d’ailleurs qu’elle est amoureuse de Christian, un cadet du Roi. Mais celui-ci n’a pas d’esprit et Cyrano l’aide à se faire aimer de Roxane. Cyrano promet à Roxane que, pendant la guerre,  Christian ne sera pas blessé et qu’il lui écrira tous les jours. Cyrano écrit alors à Roxane à la place de Christian et lui envoie régulièrement des lettres. Mais Roxane, très inquiète pour son mari, vient sur le front et le voit mourir devant elle. Très triste d’avoir perdu l’être qu’elle aimait, elle se retire dans un couvent pour faire son deuil. Elle attendra quatorze années pour découvrir la vérité à propos de Christian. Elle découvre en effet que Cyrano avait aidé Christian à se faire aimer d’elle, mais Cyrano mourra peu de temps après cette révélation. Roxane aura finalement perdu l’homme qu’elle aime deux fois. Pour ma part, j’ai un avis quelque peu négatif sur la pièce. Je trouve les personnages de Cyrano, Christian et Roxane un peu exécrables, énervants et ennuyants. Je n’apprécie pas le personnage de Christian car il veut plaire à Roxane mais il se sert de Cyrano pour parvenir à ses fins. Au siège d’Arras il se rend compte que c’est Cyrano qu’aime Roxane et se laisse mourir de tristesse au lieu de révéler la vérité à sa femme. Je n’ai pas du tout aimé le personnage de Cyrano car, même s’il est très éloquent, il n’en est pas moins hypocrite : il veut combattre la lâcheté, le mensonge, il trouve toujours des défauts chez les autres alors que lui-même est un lâche car il n’ose pas avouer ses sentiments auprès de Roxane par peur de se faire rire au nez ( !). C’est aussi un imposteur car il se sert du fait que Christian ne soit pas éloquent pour prendre sa place et parler pour lui. Enfin je le trouve très égoïste de demander à Roxane, en deuil de Christian depuis 14 ans, d’être en deuil de lui aussi. Et le personnage de Roxane m’est le plus exécrable car c’est une Précieuse qui ne veut que d’un homme éloquent alors que les seules fois où on l’entend parler on ne dirait pas qu’elle a de l’éloquence elle-même. Je la trouve aussi très sotte du fait qu’elle ne se doute même pas de la supercherie : elle aurait pu reconnaître la voix de Cyrano, qui est son cousin, lors de la scène du balcon ! Voilà tout ce qui fait que je n’ai pas aimé la pièce de théâtre Cyrano de Bergerac. Kahina SH (4B)

  • Sortie vélo 17 février 2022 (Compte-rendu de M. Kempf, professeur de lettres classiques et de cyclotourisme) La veille il pleuvait. Le lendemain aussi. Autant dire que la 5emeA eut de la chance ! Et elle sut la saisir car jamais un groupe ne se montra aussi joyeux, aussi mélomane ni aussi enclin à danser… Non, le Covid n’a pas entamé leur joie de vivre ! Bien au contraire… Pédaler dans le parc de Sceaux procure toujours un grand bonheur ! On ne se lasse pas de ses allées d’arbres taillées en rideaux, des broderies au pied du château, des oies qui régatent dans les bassins, du spectacle d’un arc en ciel sous le jet d’eau de l’octogone, des corbeaux qui ajoutent leur silhouette aux buis taillées en topiaires (une boule, une cloche, une boule) ni des écureuils jouant les trapézistes. L’esprit de La Fontaine souffle encore entre les peupliers. L’homme est-il  le maitre de la Nature ? On y réfléchit tout en pédalant. Petite nouveauté : « des apprentis-guides » avaient préparé des commentaires sur les statues de l’octogone : Oreste et Electre, Castor et Pollux, Daphné et Apollon.  Le vent emporta parfois leurs paroles mais leur travail avait été fait avec application. Merci à Mme Juin pour son aide. Le pique-nique se tint sous le toit d’une cabane ouverte aux quatre vents. Certains se firent plaisir et avaient prévu un assaisonnement pour leurs appétissantes salades… Le kiosque de la Grenouillère était fermé ! Nous n’en profitâmes que plus du parc : Course autour de la grande pelouse qui déroule son majestueux tapis vert. Félicitations aux champions qui se reconnaitront. Mais c’est déjà l’heure de rentrer. M. Delporte vient nous rechercher avec une bombe anti-crevaison et des rustines. Nous remontons la coulée verte. Un panneau signale à qui elle doit son existence. Merci à lui.

  • La matinée du mercredi 23 juin, les élèves de 6èmes et de 5èmes ont eu l’opportunité de courir un cross du collège au parc Pic. Quatre courses se sont déroulées de la manière suivante : échauffement rythmé par les élèves de 4èmes, course de 1km200 balisée par les professeurs de l’établissement puis goûter et encouragements de la course suivante. Félicitations à l’ensemble des élèves qui se sont donnés pour réaliser l’ensemble de la course avec des temps compris entre 4min58 et 12 minutes. A l’année prochaine pour la prochaine édition ! L’équipe d’EPS

  • « Descubriendo  una nueva lengua y nuevos amigos./A la découverte d’une nouvelle langue et de nouveaux amis »  est un projet eTwinning mené avec la classe de 5ème A du Collège Saint  Exupéry et une classe de 1° de ESO  du collège IES Ribera del Bullaque, Ciudad Real, Espagne. Ce projet s’est déroulé pendant toute l’année scolaire et il a permis l’échange et l’entraide entre les élèves des deux centres scolaires. Des  activités ludiques réalisées ont motivé les élèves dans leur apprentissage de l’espagnol et des TICE, tout en prenant  conscience de la richesse d’une culture différente. Lors des  rencontres par visioconférences et par chat  les élèves ont pu communiquer avec leurs pairs natifs tout en réalisant des activités basées sur le programme comme: la présentation de soi, ses goûts et activités de loisirs, la famille, le collège, l’emploi du temps, la routine et les fêtes et traditions de l’Espagne. Pour plus de détail vous pouvez regarder le site du projet : https://twinspace.etwinning.net/124831/home https://www.canva.com/design/DAEjOagYnH0/VHoyAns2-bFBPu-E8DE9Iw/watch?utm_content=DAEjOagYnH0&utm_campaign=designshare&utm_medium=link&utm_source=publishsharelink Mme Ginès

  • Les élèves de 6ème ont participé au concours « La course aux nombres ». Ils avaient 9 minutes pour répondre à 30 questions portant sur le programme de mathématiques. À partir de 20 réponses correctes, chaque élève a reçu un diplôme et un petit cadeau offert par le collège. Félicitations aux 47 gagnants !

  • Sortie vélo (Parc de Sceaux par la coulée verte) du 17 juin 2021 organisée par M. Kempf : Le tour du Passé et de l’Avenir… « L’avenir s’ouvre à pieds de biche », prédit le graffiti à l’entrée du métro Malakoff-Plateau de Vanves. Pour l’heure nous sommes tout à la joie de partir après ces deux sorties annulées, l’une en raison du confinement, l’autre à cause de la neige et du  verglas. Tout à la joie mais pas tous là car seuls quinze élèves sont présents. M. Delporte nous accompagne et nous ne  l’en remercierons jamais assez. Première fake-news dans la pente de Châtillon. Un élève ferait une crise d’asthme, me prévient une cycliste (valeur du conditionnel. Cf Phid(ia)s. Le d ? Doute ! Bravo !).  Le pire est envisagé mais chacun arrive à son rythme. M. Delporte nous laisse à l’entrée du Parc de Sceaux. A peine est-il parti qu’un dérapage mal contrôlé d’un élève laisse l’organisateur désemparé et sans voix. L’élève s’en tire avec des égratignures. Ouf ! Dès lors, place à l’Histoire : Le mémorial des victimes alto séquanaises de la shoah. Sequana, ae, m : la Seine ! Retenons un nom : Pourquoi pas Anna Lasky de Courbevoie ? Le mémorial se mérite : un arbre signale son entrée. Il faut fouler une prairie et là de grandes silhouettes pétrifiées accueillent le visiteur. Puis place aux Arméniens dont l’aigle à corps d’homme rappelle le génocide en 1915. Après ce sinistre XXème siècle, retour à ce plus léger XVIIIème siècle avec le pavillon de Hanovre, la guerre de 7 ans et le neveu de Richelieu. Quel plaisir de retrouver ces grandes perspectives, ces allées bordées de peupliers conçues par Le Nôtre! Le grand bassin a un plan de cathédrale. Sans piliers, sans tours, sans clochers, sans arcs-boutants et sans risques d’incendie. Tiens, c’est nouveau : un petit pont de bois permet de passer d’un bord à l’autre du canal. Voici l’octogone ou un trio d’oies grenaches glisse sur l’eau lisse. Il y a même un accipiter nisus, épervier d’Europe mais pas de sciurus vulgaris, ce rouquin d’écureuil ! Un homme est assis sur un banc et regarde le groupe, amusé. C’est un ancien du bâtiment. Très technique : Le perré, la lentille, ça lui parle. Ce génie civil et courtois est désormais rangé des voitures pour lesquelles il a construit, dans les années soixante-dix, des autoroutes, des ponts, un peu partout sur la planète. Il joue maintenant au golf après avoir connu les beaux jours du BTP à l’étranger. Jeddah, Lagos. Où il fallait fermer les portières de l’intérieur au feu rouge. Où des gangs déménageaient (euphémisme pour pillaient) des quartiers entiers. Avec des pieds de biche ?… Pause au kiosque de la Grenouillère. Nous rencontrons Romain de Lisieux.  33 ans. Collier de barbe, les manches retroussées, il s’active sur son ordinateur, attablé à l’ombre des grands platanes. Il a arrêté le collège en fin de sixième, a passé un CAP dans la restauration et il travaille comme commercial pour une marque de peinture « bio », faite entre autres d’algues. « Pas besoin de diplôme quand on veut travailler. » Il ne signe que des CDI. « Quand on a un bébé, on a besoin de sécurité. ». Aujourd’hui les masques ne sont plus obligatoires. On entend encore des « mince, j’ai oublié mon masque ! » au kiosque de la Grenouillère où les galettes complètes transportent les clients en plein pays breton, où dans les forêts courent de jolies biches… M. P. Kempf

  • Depuis le mois d’octobre, les élèves qui bénéficient du dispositif ULIS découvrent l’activité Tir à l’arc au parc du pré Saint-Jean de Saint-Cloud. Elle se déroule en partenariat avec le dispositif Plein Air Handicap. Les élèves s’y rendent avec enthousiasmes et progressent chaque semaine.  Positionnez votre arc face à la cible, tendez le bras, tirez, lâchez et c’est … dans le mille pour cette activité !            

  • Canis tempore ! Par un temps de chien… « Dans le brouillard s’en vont un paysan cagneux et son bœuf lentement »… Sous la pluie s’en vont trois accompagnateurs et vingt élèves de 5emeB, chauds-bouillants et impatients de découvrir le parc de Sceaux. Le début est  prudent avec une remontée à pieds jusqu’à la station de métro, derrière laquelle passe la fameuse coulée verte. Les banlieusards s’activent et gagnent leur lieu de travail à pieds, à vélo, en bus, en tramway et en voiture. Première côte : les selles se dévissent, les articulations souffrent. M. Delporte avise un garage et fait remettre dans l’axe la selle mal ajustée d’un élève. Le temps ne s’arrange pas mais le moral du groupe est au beau fixe. Il n’est pas 9 heures et les chips sont déjà sorties ! Ca y est, c’est la descente ! Les freins crissent. Horreur, la voie est coupée. On donne un coup de frein puis de guidon et le peloton s’étire comme un rouleau de réglisse. Franchissement des grilles du Parc. Il n’y a quasiment personne ! Deux arrêts culturels. Devant le pavillon de Hanovre, pavillon à la réputation sulfureuse qui se trouvait Boulevard des Italiens et qui a été entièrement démonté et remonté dans le parc. Puis devant l’aigle d’Arménie qui commémore le génocide dont ont été victimes les Arméniens en 1915. Le grand bassin est en restauration et le paysagiste Le Nôtre doit apprécier  que l’on prenne, trois siècles et demi plus tard, soin de son parc, de ses jardins à la française, de ses grandes allées bordées de peupliers, de ses bassins où nagent des carpes. Il pleut de plus en plus fort. Par chance près de l’octogone on aperçoit un toit caché dans les bois. Nous nous y réfugions et y déjeunons. Des chorégraphies s’ébauchent, les langues se délient. Les adeptes d’un menu végétarien fraternisent avec les mangeurs de saucissons ! Petite accalmie… Allez courage ! Nous remontons sur les vélos. Non ce ne sont pas Remus et Romulus mais Castor et Pollux. Puis c’est ensuite Apollon qui tente de saisir Daphné avant qu’elle ne soit changée en laurier. Oreste parle avec Electre. Un Galate en finit avec la vie. Les statues récemment restaurées sont bien là, toutes ruisselantes. Nous montons à l’assaut du château. Une statue de Commode déguisé en Hercule, reconnaissable à sa massue et à la dépouille du lion de Némée dont les pattes sont croisées sur le torse de l’empereur, nous toise. Il y une exposition de photographies ou plutôt d’autochromes qui appartiennent à la fondation Albert Kahn. Nous retrouvons des cosaques ainsi qu’un cavalier mongol. Un autochrome montre le temple du dieu Bêl à Palmyre à l’époque où il n’avait pas été réduit en sucre en poudre. Un gladiateur de bronze, au pied rongé par l’humidité, n’a même plus son bouclier pour se protéger de la pluie. Tour de l’orangerie. Place au jeu du cirque : Des courses de vélo sont improvisées sur le grand parterre qui s’étend au pied du château. Au début les compétiteurs ne se bousculent pas mais peu à peu les participants se font plus nombreux. Il est l’heure de rentrer. On en a plein les bottes. Arrêt à Fontenay aux roses ou le peintre Pierre Bonnard est né. On apprend que les Boucicaut habitaient Fontenay, eux dont Zola s‘est inspiré pour écrire son roman Au bonheur des dames. 1515, ce n’est pas Marignan mais l’heure indiquée à nos montres en arrivant devant le collège. M. P. Kempf

  • eTwinning est une initiative de la Commission européenne qui vise à encourager les écoles européennes à collaborer en utilisant les technologies de l’information et de la communication et en leur fournissant l’infrastructure nécessaire (outils en ligne, services, support). eTwinning  est devenu le plus grand réseau social européen  de professeurs et d’établissements scolaires. La plateforme  eTwinning est offerte aux équipes éducatives des 42 pays qui y participent, pour communiquer, collaborer et développer leurs projets.   Depuis cette année le collège Saint Exupéry de Vanves ouvre ses portes à eTwinning avec un projet innovateur fondé par Mme Ginés  avec une classe hispaniste de 5ème  et une classe de 5ème du collège Reyno de Navarra en Espagne. « C’est comme ça qu’on partage nos cultures / Así es como compartimos nuestras culturas.» , est un projet qui consiste à réaliser une correspondance en suivant la progression du programme de 5ème : se présenter, présenter sa famille et ses amis, se décrire, parler de ses goûts (la nourriture, etc),  de ses activités, de son emploi du temps scolaire, de sa vie quotidienne, etc. Vous pouvez consulter le projet en cliquant sur ce lien : https://twinspace.etwinning.net/92632/home Ce projet a permis aux élèves d’utiliser leur langue étrangère de façon authentique, dans une démarche de communication réelle, pour construire un échange culturel et pédagogique et apprendre ensemble en développant l’utilisation des TICE en classe et à la maison.   Avec ce projet  la Direction du Collège Saint Exupéry à l’intention d’encourager la collaboration de sa communauté éducative au-delà de ses frontières grâce aux TICE, favorisant en même temps la communication en langues étrangères et l’esprit européen.

  • L’équipe du collège Saint-Exupéry de Vanves (92) souhaite vous envoyer ce petit message d’espoir, d’encouragement et de bonne humeur.

  • L’établissement est actuellement fermé suite aux recommandations du gouvernement. La continuité pédagogique est assurée via la plateforme OZE. Si vous rencontrez des problèmes pour avoir un accès à un ordinateur, merci de contactez l’établissement pour trouver une solution alternative. Informations supplémentaires

  • Tous les élèves de 4ème du collège seront formés aux premiers secours d’ici fin Mars. Cette formation leur permet d’acquérir les gestes de premiers secours et de prendre en charge des victimes ainsi que leur protection et surveillance en attendant le relais des équipes de secours. Au bout de deux demi-journées à la fois ludiques et riches, à travers lesquelles les élèves peuvent s’entraîner à réaliser les gestes de secours et testent leurs réactivité lors de cas concrets, ceux-ci se voient acquérir le diplôme des « Premiers secours civiques de niveau 1 ». M.Victorri, formatrice en premiers secours et professeur d’EPS

  • Un petit aperçu de l’exposition EPI « archéologie familiale et constellations migratoires » réalisée par les élèves de 3ème A et 3ème C. Elle se déroule en 2 temps. D’abord au fond du CDI les constellations migratoires inspirées de l’oeuvre de Bouchra Khalili qui met la géographie au service de la recherche de son parcours, de ses origines. Puis face à l’entrée la forêt des objets issus de l’archéologie familiale, les élèves ayant à enquêter et photographier  un objet de famille qui leur a permis de faire le lien entre son histoire et la grande Histoire. Ils ont presque tous collaboré et tous les travaux valent le détour car tous se livrent, ont fait l’effort d’interroger leurs anciens, de se questionner. Merci à ce bel EPI !

  • Sortie le 19 décembre des 5eme B : Excursion au musée départemental de Sceaux  (exposition consacrée à la girafe offerte à Charles X) Fallait-il prendre pour un mauvais présage le dégonflement de mon pneu à l’heure du départ ? Pas forcément car nous partîmes 23 et revînmes… 23. Avec un peu d’avance même ! Pourtant on craignit le pire : pour N, sanglé dans son gilet jaune, pour O dont le palpitant s’emballa dans une côte. Pour  T dont la rumeur courut qu’elle était tombée. Pour C dont le frein-avant lâcha. Pour  B dont la roue arrière refusa de réintégrer le cadre. Pour M même qui, la grille du collège franchie, trouva le moyen de s’égratigner dans les rosiers. Et pour Mme Lohr, remarquable accompagnatrice,  dont le pneu-avant rendit son dernier soupir en arrivant. Tout alla donc très vite dans cette journée et peut-être est-ce N qui tint le rôle du coureur lâché en rase campagne par le peloton, dans ce dessin de Sempé que Mme Ginès fit tomber du tableau où il était suspendu.  N sut, lui,  s’accrocher et lentement revenir. Peu de place pour la culture donc : pas le temps de leur dire qu’il y avait une sculpture falciforme émergeant d’un fourré, ni de les interroger sur le sens du mot courtois quand nous croisâmes la rue Courtois. A peine pus-je prononcer l’expression « jardin à la française » qui se perdit sans un écho dans l’immensité hivernal du parc et que personne n’entendit. Dommage ! Non ce qu’ils voulaient, c’était rentrer avec un titre : A obtint celui du meilleur « dérappeur », abandonnant le rap à ses camarades mélomanes. Et la girafe, me direz-vous ? Oui, nous vîmes cet animal qui fit tourner les têtes à la France de Charles X. Il y eut même une coiffure féminine inspirée de sa tête et de ses cornes. Les fonds d’assiettes la peignirent. Les poètes trempèrent leurs plumes dans des encriers pour la représenter. Arrivée à Marseille, elle traversa donc la France dans son imperméable taillée sur mesure, accompagnée de vaches et d’une antilope. Un tableau de Brascassa en témoigne. M. P. Kempf

  • Les élèves de 6ème du collège ont reçu les CM2 de l’école Gambetta accompagnés de leur enseignante Nesrine puis ceux de l’école Marceau accompagnés de leur enseignant Fabien pendant leur cours de mathématiques. L’objectif était de décorer le mur du CDI avec des roses de Noël . Pour cela, ils ont utilisé leur compas et leur règle et ont suivi des programmes de constructions géométriques. Il y avait plusieurs motifs différents et les élèves ont ensuite colorié leurs créations au feutre. Pour le collège ce projet à été réalisé sous la direction de Mme VO VAN, Mme COOTE et Mme DRIF

  • Depuis 3 ans, la vente de chocolats permet au collège de financer les voyages et sorties pédagogiques. Cette année encore ils ont connu un grand succès avec plus de 720 commandes !

  • Ça y est, les chocolats sont arrivés au collège. Plus qu’un peu de patience : le temps de préparer les commandes. Elles devraient être livrées dans quelques jours par nos élèves. Bonne dégustation !

  • Le lundi 24 juin, les classes de 6eme B, 6eme C, 5eme B et les élèves du dispositif ULIS se sont rendus à WEBEDIA, cette sortie était organisée par Mme OUDEA, professeur de mathématiques,  et encadré par plusieurs professeurs. Tout d’abord qu’est-ce que WEBEDIA ? C’est un lieu de travail pour créateur de contenus sur Internet, c’est-à-dire les sites internet, les vidéos sur YouTube, sur twitter… Nous sommes arrivés le matin et avons pris un petit déjeuner à la cafétéria. Puis une employée nous a fait visiter les locaux qui sont utilisés pour les vidéos en live ou les vidéos de gaming. Nous avons visité ensuite la régie et le plateau de tournage, ou nous avons rencontré deux You tubeurs : Mcfly et Carlito, très connus et appréciés par les adolescents. Nous avons pu poser des questions et prendre des photos avec eux. Nous avons ensuite été accueillis par Quento, commentateur de jeux vidéo type e-sport (FIFA…) qui nous a raconté son parcours professionnel et nous a permis de jouer et commenter une partie de FIFA. Ensuite pour notre plus grand bonheur nous avons pu discuter avec Squeezie, célèbre You tubeur qui s’est rendu très disponible et partant pour une série de selfies. Pour garder un souvenir immuable, des cadeaux nous ont même été distribués avant de rentrer au collège.

  • Mardi 18 juin 2019 les 4eme C firent une sortie à vélo jusqu’au parc de Sceaux. Ce n’était peut-être pas la sortie du siècle mais cette excursion à vélo au parc de Sceaux n’en constitua pas moins une excellente introduction au Grand Siècle, le XVIIème. En effet, partis de Vanves à 9h 30, les élèves arrivèrent, sans trop d’encombres, au Parc de Sceaux vers 11h. Si certaines réalisèrent enfin qu’il ne s’agissait pas du château de Versailles, d’autres se souvinrent judicieusement des jardins de Le Nôtre et les statues disposées autour de l’Octogone constituèrent un excellent support à la découverte du Classicisme. Les élèves pique-niquèrent à l’ombre d’Apollon poursuivant Daphné. Plus loin Oreste retrouvait sa sœur Electre. Un Galate mettait fin à ses jours. Enfin Castor et Pollux veillaient sur ce grand bassin agrémenté d’un jet d’eau. Ces statues renvoient toutes à l’Antiquité, source d’inspirations chère au dramaturge Jean Racine dont la tragédie, Phèdre, fut jouée pour la première fois, ici même en 1677. (L’histoire de la femme de Thésée qui tombe amoureuse de son beau-fils, le bel Hyppolite et qui met fin à ses jours après avoir fait croire que ce dernier avait tenté de la séduire.) En explorant le Parc, les élèves découvrirent le petit Château, à la façade classique et symétrique ainsi qu’une fontaine constituée de coquillages assemblés de façon à représenter un visage d’homme à la manière des œuvres d’Arcimboldo. Le retour prit une dimension dramatique avec cette malheureuse petite mamie qui sortit d’un fourré après s’y être précipitée pour éviter la caravane des élèves qui redescendait en trombe sur Vanves. Heureusement elle n’avait que quelques égratignures ! M. P. Kempf

  • En partenariat avec la LICRA de Vanves et dans le cadre du parcours citoyen en classe de 3eme, les élèves ont pu rencontrer Esther Senot et Maurice Wacjmann, rescapés du camp d’Auschwitz. A cette occasion, les élèves ont réalisés des constellations migratoires retraçant le parcours d’Esther Senot. Travaux des élèves :

  • Chers parents, Vous êtes invités à participer à une session de formation « Les  gestes qui sauvent » qui se déroulera :  le samedi 30 mars de 10h à 12h au collège en salle Petit Prince . Cette session de  formation aborde les contenus suivants : la protection et l’alerte, les hémorragies, les positions d’attente, la perte de connaissance, l’arrêt cardiaque.